L'armée révolutionnaire est en marche

Tandis que les grèves généralisées se poursuivaient et paralysaient le pays, les partisans de la révolution, issus des couches pauvres de la société, des laissés pour compte, des exploités par le patronat capitaliste, s'armaient. La contrebande s'organisait, grâce aux vols d'armes dans les stocks impériales, réalisés par des soldats parjures. Il y eu nombre de désertions qui permirent à l'armée révolutionnaire d'avoir des forces compétentes et entrainés.

L'heure de la révolution approchait, et l'empire en frémissait.

Le meneur de la révolution rouge, Pierre Valezo, avait délégué le commandement des forces de fortune à ceux qu'il appelait "ses généraux" : de modestes ouvriers comme lui mais fougueux, entreprenant, et croyant profondément en leurs convictions. Ils allaient être le fer de lance de la révolution, tandis que Valezo la figure de proue, emblème sous lequel le peuple entier se rejoignait, dictait ses ordres dans quelque appartement devenu le Quartier Général des Peuples Libres.

Les soldats de l'Armée Impériale, devant les tracts de propagande distribués, les appelant à ne pas tirer sur les soldats de l'Armée Révolutionnaire qui sont leurs frères, leurs enfants, leurs pères, et devant l'inactivité constante des autorités de l'Empire, restaient ssns savoir que faire. Des casernes furent même prises sans opposer de résistance.

Des paysans sans fortune et exploités par les grands propriétaires terriens capitalistes sans âmes avaient rejoints les rangs, et par leur nombre les révolutionnaires submergeaient de nombreuses villes. Parfois, des affrontements sanglants eurent lieux contre les forces de l'ordre, certains quariers furent bouclés par des barricades.

Pendant ce temps, dans la capitale, les révolutionnaires avançaient vers le Palais Impérial, patés de maisons par patés de maison. Pierre Valezo savait que saisir ce lieu symbolique marquerait peut-être la victoire pour le peuple, et sa libération du joug des tyrans.

Moi un tyran comment osez -vous

ExLude :

S'il vous plait. Il y a ici des gens qui veulent faire quelque chose de bien. Si vous en êtes capable, merci de respecter ce travail. Dans le cas contraire, veuillez vous mettre en large et laisser faire ceux qui ont des capacités, au lieu de polluer le forum.

comment osez vous me parler comme sa

Je suis sa Princesse Impériale nastasia Novamol

Et moi je suis Grandieu-Sempierre... Maintenant laisse jouer ceux qui en sont capables.

comme vous voulez je vous laisse le pays je part

Exlude :

Le pays ne s'en portera que mieux..

Les révolutionnaires s'étaient massés devant, et autour, du Palais Impérial. Les gardes impériaux présents étaient particulierement perdus devant une telle masse populaire. Tandis qu'elle avançait, hostile mais sans tirs, ils les prenaient en joue mais hésitaient à se défendre. Sans l'autorisation de l'Etat-Major ou de l'Empereur, qui semblaient tous comme disparus (avaient-ils fuis sentant leur fin proche ?), ils ne tirèrent pas lorsque le peuple arriva à leur hauteur, et se contentèrent de jeter les armes.

La joie envahissait les révolutionnaires tandis qu'ils entraient dans le Palais, et commençaient à fouiller ses moindres recoins.

Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 05/05/2007

Nicolas était prit au piège dans le palais impérial il semblais être le dernier membre de la Famille impérial a être rester dans ses pensée il se dit :

"Si je reste ici ils vont finir par me trouver et si je sort ils vont me tuer quel sacré bordel."

Mais il remarqua un employer du palais un major d’homme qui était étendu par terre mort il lui vint une idée :

"Si j’enfile ces vêtements les révolutionnaire me laisseront peut être sortir sinon Chacun pour sois et dieux pour tous."

Il sorti déguiser en major d’homme et s’avança ver les brigade révolutionnaire

Un "officier", si l'on peut dire, de l'armée révolutionnaire, l'arme au poing, aperçut le majordome, et ne reconnut pas l'héritier, lui qui n'était que peu médiatisé. Surtout que l'ancien paysan illétré n'avait même pas assez d'argent pour s'offrir le luxe d'acheter des journaux.

- Camarade, l'ère des tyrans est terminée ! Tu n'es plus obligé d'être soumis et asservis ! Rejoins les rangs, et tu marcheras demain la tête haute en homme libre !

Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 05/05/2007

Oui Monsieur je suis a vos ordre

Dit l'héritier au soldat tout en mentant car il ne penser qu'a sa survie et donc il dut se résigner a rejoindre l'ennemi.

Il penser : "Si père me voyait je serais désérité mais je doit survivre pour moi et pour mon avenir."

C'est bien choisi ! Tiens prend ce revolver, dit-il en lui tendant une arme qu'il portait à sa ceinture. Et suis-nous ! Il y a encore des gardes qui tiennent, ils ont barricadés les portes de quelques salles mais tomberont bientôt à leur tour. Au fait, tu dois savoir ce que devient la famille Impériale ? Nous devons absolument les arrêter et les juger pour leurs crimes odieux.

Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 05/05/2007

la Famille impérial ?! Il se sont enfuit je ne sais ou.

Il tenait le revolver avec une sorte de dégoût il avait fait son service militaire mais n'avait jamais aimé les arme mais comme ça pouvait le sauver il la prit sans rien dire.

Et des Gardes qui tienne encore vous allez en faire quoi ?

Hm je m'en doutais... Ils ont du quitter le pays, et rejoindre la protection d'une puissance étrangère... Les gardes ? Si ils se rendent facilement, ils seront fait prisonniers, jusqu'à la proclamation de la République. On leur laissera le choix de nous rejoindre, ou d'aller dans les geôles. Ceux qui ne se rendent pas d'eux-même seront exécutés.

Dans le Palais éclataient de nombreux tirs. La défense était farouche mais les gardes devaient se rendre à l'évidence : ils ne pourront résister, écrasés par le nombre. La plupart de ces vaillants soldats, abrutis par le bourrage de crâne impérialistes, mourront plutôt que se rendre. On pouvait en voir quelques-uns, désarmés, les mains sur la tête, à genoux et entourés des révolutionnaires, fait prisonniers.

Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 05/05/2007

Nicolas s’avança et regarda les garde fait prisonnier et vit que certain le reconnaissait mais il leur montra discrètement avec le doit de ne rien dire puis répondit :

Je ne comprends pas la République ??

Les coup de feux continuer plusieurs Garde était tomber.

Je ne sais comment vous aider Monsieur

L'officier tira avec son fusil vers le haut des escaliers. En effet, des soldats impériaux empêchaient les révolutionnaires de prendre cette aile-ci de l'étage. L'officier s'abrita et poursuivit :

- Oui, la République. La première République Populaire et Démocratique de Dastornia d'aprés Valezo, garantissant à tous la liberté, l'égalité, le partage des richesses... hum si ça continue on ne prendra jamais cet escalier... hey toi ! Amènes moi le baton de dynamite que tu as à ta ceinture ! ordonna-t-il à un soldat révolutionnaire, avant de reprendre. M'aider ? Mais c'est toi que tu aides mon garçon. C'est simple : tu tires sur les gardes quand ils ne se rendent pas, et tu évites de te faire tuer. Tu piges ?

Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 05/05/2007

Oui je crois mais… Roh et puis Zut

Nicolas se pencha dans l’escalier et tira sur un garde qui tomba et roula dans les escaliers puis blesse le garde se rendit.

Nicolas ne voulais pas voir un types mourir pour rien l’emmena loin des combats dans un poste d’infirmerie.

Aprés qu'il soit parti, l'officier alluma le bâton de dynamite et le jeta en haut des escaliers. La terrible explosion et ses voluptes de fumées permirent aux révolutionnaires de prendre le contrôle des escaliers lorsqu'ils s'y ruèrent. Les gardes qui n'étaient pas morts dans l'explosion furent abattus.

Rapidement, les forces rouges prirent le contrôle des salles de l'étage. Les morts étaient nombreux, dans les deux camps, mis la victoire leur appartenait. Il ne trouvèrent aucune trace de la famille Impériale, mais des Conseillers et des Ministres furent arrêtés.

Epuisé, l'officier sorti du Palais. Une balle lui avait blessé le bras, mais cela ne l'empêcha pas d'allumer un cigare trouvé sur un cadavre de gentilhomme. Le long du mur, une dizaine de soldats de l'empire étaient alignés. Face à eux, le peloton d'exécution.

- Vive l'Empereur et vive l'Empire ! Gloire à ... eurent-ils le temps de crier avant que les balles de l'exécution sommaire ne les emportent.

- Pauvres imbéciles... murmura l'officier, tandis que des hommes emmenaient les corps.

Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 05/05/2007

Nicolas regarda l'exécution et dit entre ses dents :

Pauvre gens

Puis il vit le soldat qui l'avais entraîner dans se bordel et vit qu'il était blesser s'approcha et comme il avait prit des bandage a l'infirmerie lui fit un pansement.

Quel pauvre gens quand même vous ne trouver pas ?

Dit-il au soldat

L'officier se laissa faire sans broncher.

- Mouais... Ils ont choisit leur camp. Car pendant qu'ils étaient là, à défendre la famille Impériale, les ouvriers et les paysans qui font vivre ce pays et lui apportent richesse et prospérité se faisaient exploiter, le ventre vide. Et la colère se faisait étouffer par la charge des cavaliers de l'empire, par le tir d'hommes comme eux...

Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 05/05/2007

Peut être que vous avez raison mais moi je vivais assez bien sous l'Empire si j'avais été Empereur j'aurais remédier a tout ca.

Dit il en retenant une larme.

Et puis l'Empire d'un coté n'était pas si mal que cela.

L'officier se leva soudainement, surpris par ces dernières paroles.

- Comment peux-tu dire ça ?!... Ha je comprend... toi, le majordome, qui vivait bien tranquille au Palais Impérial, pendant que nous les travailleurs de la terre et de l'usine on se saignait aux quatre veines !

Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 05/05/2007

Avant de me faire engager ici je travailler dans le nord du pays j'étais pêcheur j'étais aussi vigneron pendant prés de 15 ans je l'ais fait cela ne fait que 5 ans que je suis majordome et j'avais commencer par faire pécheur et vigneron a 5 ans avec toute ma famille.

Dit il en s'énervent pour paraître le plus naturel possible pour ne pas être reconnu

Mouais... dit simplement l'officier, peu convaincu. Mon oncle était vigneron. Alors si tu l'as été, dis moi comment qu'on appelle les larves de papillons qui bouffent les vignes ?

Nombre de messages : 56 Age : 31 Date d'inscription : 05/05/2007

Cela se nomme le Phylloxera je crois que sa se dit encore comme cela.

Nicolas avait de la chance car il avait réellement travailler des vignes pour une ou deux associations caritative